À PROPOS

Titulaire d'un Master 2 en Droit Institutionnel – Droit des Personnes vulnérables

Suite à une expérience en stage de psychologie avec des enfants gravement handicapés, je m'interroge sur la place accordée à leur voix. Je m'oriente donc en M2 Droit des personnes vulnérables qui allie droit privé et éthique. Mon idée : redonner leur pouvoir à mes patients en faisant valoir leurs droits individuels et inhérents.

Titulaire d'un diplôme d'éducatrice Montessori et fondatrice de l'école Les Lettres Dorées dans le 8e arrondissement

En constatant l'inadaptation du système scolaire aux besoins de mes enfants, je me forme à la méthode Montessori en 2016 et fonde une école bilingue orientée sur le respect du rythme de l'enfant. Après 5 ans de cette merveilleuse aventure, je décide en 2021 que j'aimerais à nouveau occuper plutôt une place de thérapeute, à l'écoute des besoins fondamentaux de l'individu, plutôt qu'une place de directrice qui jongle entre l'individu et la collectivité.

Je réalise que ma place est auprès de personnes individuelles, je souhaite leur donner les outils d'un cheminement vers la réalisation de soi avant tout.

Titulaire d'un diplôme de Kinésiologue certifiée de l'Ecole de Kinésiologie et de Techniques Complémentaires (EKTC – école QUALIOPI, reconnue par le Syndicat National des Kinésiologues)

J'ai eu l'intuition qu'il manquait peut-être une étape à la guérison dans la pratique du psychologue.

Celui-ci agit sur un aspect essentiel : la prise de conscience de son trauma. Souvent, le patient parvient, en interrogeant la conscience, à faire remonter des informations sur des traumas passés.

Le fait d'en parler est utile : ça fait passer l'information du cerveau postérieur (cerveau chargé de l'association des émotions et/ou du stress avec la mémoire des événements passés) vers le cerveau antérieur (chargé du langage, mais aussi de l'inscription dans le temps présent « Ici et Maintenant » dénué d'émotions). Cela contribue donc à décharger en partie l'émotion associée et donc à soulager parfois durablement le patient.

Mais pour moi ce n'est pas toujours suffisant. En effet, le corps s'imprègne toujours d'un trauma. Si je me contente d'en parler,

1. Je n'équilibre pas mon corps, qui a besoin, lui aussi, de se défaire du trauma intégré.
2. Je peux passer à côté de traumas intégrés par mon corps dont je n'ai peut-être ni la mémoire ni la conscience mais qui déséquilibre tous mes systèmes.

Par ailleurs, si parler de ce qui me cause du tort est essentiel, il faut aussi pouvoir parler de mes ressources, de mes objectifs, de mes aspirations, des outils que j'ai pour y parvenir de façon POSITIVE, car de nombreuses études le prouvent : si les pensées négatives affaiblissent le système (nerveux, immunitaire, digestif, hormonal, etc.), les pensées positives ont un effet fulgurant dans le processus de guérison.

C'est une des raisons pour lesquelles le kinésiologue travaille souvent en partenariat avec de multiples professionnels spécialisés : psychologues, ostéopathes, naturopathes, hypnothérapeutes, etc. car la force de ces méthodes est dans leur complémentarité.